MERCI A TOUS LES INTERNAUTES QUI NOUS ONT ENVOYE DES MESSAGES D' ENCOURAGEMENTS

Par Gratien Rukindikiza

 Burundi news, le 04 septembre 2007

Je remercie sincèrement les lecteurs qui m'ont envoyé des messages d'encouragements. Votre site vous a donné des informations révélées en exclusivité et il a permis de faire la lumière sur plusieurs dossiers. Ces informations n'ont pas plu au pouvoir et à ses soutiens. A cet effet, une campagne a été orchestrée pour pousser le site Burundi news à ne plus vous informer. Beaucoup d'écrits ont été publiés sur certains sites. Les lecteurs m'ont demandé de ne pas me laisser entraîner dans ce jeu et je ne peux pas me livrer à un débat de bas niveau qui me prend du temps.

Par ailleurs, je ne peux pas tolérer que certains confrères en profitent pour raconter n'importe quoi. J'ai toujours refusé de soutenir un pouvoir du fait que le Président en fonction de son  ethnie, de sa région. Personne ne peut se cacher derrière son ethnie pour opprimer un peuple. Je n'ai jamais défendu une ethnie ou une région. Je soutiendrai un pouvoir qui défend son peuple, un pouvoir qui ne vole pas les deniers publics. Ceux qui veulent me pousser à défendre une ethnie se trompe. Mes idées datent de plus de 30 ans. Ce ne sont pas les nouveaux venus en politique sans idéologie en faveur du développement et de l'unité du peuple qui me feront taire.

Votre serviteur ne cherche pas de poste au Burundi. Je n'ai jamais demandé un avantage ou un poste à un régime politique quelconque. Mes détracteurs cherchent à se faire voir par le pouvoir pour qu'il y ait un retour d'ascenseur. Les internautes savent que les sites ont été des réservoirs pour les promotions ou des nominations. Les sites Abarundi et Umuco ont fermé parce que leurs rédacteurs ont eu des postes au Burundi. Signalons que le site Abarundi a été cédé à Kabuto après son faux départ du site info-burundi net.

Certains écrits sont devenus anonymes et d'autres portant des noms appartenant à d'autres. Ces faux noms cachent une lâcheté et une absence d'une force d'assumer. Quand on écrit, il faut avoir la force de l'assumer.